On air...

Comme une planche contact laissée sur une table. Les polaroids s’alignent, multipliant les attitudes et les détails. On y lit la spontanéité d’un moment volé plus qu’une séance calculée. Le vêtement se vit, se froisse, se mélange aux gestes et aux regards. Le shooting devient une archive immédiate, entre carnet de route et portrait de groupe.